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 Bleach the Extinction

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Bleach the Extinction Empty
MessageSujet: Bleach the Extinction   Bleach the Extinction EmptyMar 21 Jan - 10:46

♦ Prénom(s) : Sanji
♦ Nom(s) : Saionji
♦ Sexe :Masculin
♦ Age : approximativement 140 ans.
♦ Race : Shinigami
♦ Siège & Division/Groupe/Rang occupés : 6° Division (je souhaiterais bien avoir un siège, mais cela dépend de mon niveau, je crois)
♦ Occupation(s) & Rêve(s) : passer du bon temps

Sanji est un bon vivant. Il apprécie beaucoup la compagnie. Il sait s'adapter à toute situation. Au naturel, il est un éternel bavard (là encore, ses origines peuvent expliquer cela). Il n'est pas timide, ni réservé. Au contraire, il aime s'exprimer et faire de bons mots. Il a un certain sens de la franchise. Par son comportement, il sait se faire des amis et s'entourer. Il ne tombera jamais dans la vulgarité pour autant.
Il sait se contenir dans les circonstances appropriées. Faire silence. Soit avec des personnes plus renfermées, ou par respect. Il peut passer autant de temps en société que dans les bas-fonds.

Il a cependant besoin de solitude lorsqu'il s'exerce. Pas avec son zanpakuto, bien sûr, mais avec de vrais instruments. Le violon est son instrument de prédilection, même s'il est se débrouille honorablement avec tout autre instrument à corde. Il est calme et serein une fois l'instrument en main. Sauf si on l'interrompt sans raison valable. Là, il peut se révéler agressif et peu commode et réveiller son shikai pour faire fuir l'importun.
Si l'auditoire, en revanche, respecte son art, il accepte sa présence et propose même que le public choisisse le morceau. En tant que mélomane, il propose ses services de musicien aux personnes demandeuses. Il peut ainsi aider à la méditation, à la recherche de calme. Si un shinigami éprouve des difficultés à entrer en contact avec son Zanpakuto, Sanji peut mettre en condition les deux partis pour que ce contact soit plus harmonieux.
N'étant pas sectaire, il lui arrive de jouer des musiques plus sauvages ou auprès de personnes recherchant autre chose que du classique. Bref, aux amateurs de musique de tout poil.

Au combat, Sanji n'ira pas forcément en première ligne. Non pas qu'il n'aime pas combattre. Ce n'est pas un pacifique et n'hésitera pas à tuer s'il le faut. Il agit en tant que soutien, non comme un guerrier à l'assaut. Cela vient de ses capacités au zanpakuto : ce dernier n'est pas particulièrement offensif. Cela convient bien à la mentalité du personnage. Il est celui qui accorde les troupes comme il accorde son instrument. Jamais à l'avant ni trop à l'arrière. Il considère ses camarades de combat comme un orchestre. Si l'un d'entre eux fait un couac, tout est désaccordé. Aussi, il a un grand sens de la solidarité. Il montera au créneau s'il le faut pour aider un camarade en détresse.

Est-il pour autant un bon juge de la nature humaine ? Il ne tient pas compte des préjugés et se fera son opinion. Il attend toujours de voir venir les choses. Si la personne se montre digne, il le respectera, quelque soit le bord. Il éprouvera du regret à tuer un ennemi qui n'avait pas vraiment d'hostilité envers lui, mais qui n'avait pas le choix. En revanche, il n'éprouvera aucune pitié envers les gens bêtes et méchants. C'est un humaniste. C'est pourquoi il en veut à la Soul Society
On lui a appris à se défendre, à connaitre son zanpakuto, il a connu des gens de valeur. Pourtant, l'incident Rukia Kuchiki a ébranlé ses convictions.
Il s'en est voulu d'avoir suivi bêtement les ordres au lieu de lui venir en aide. Il réfléchit beaucoup sur le statut d'un shinigami : doit-il foncer tête baissée, car sans autorité, tout s'écroule ? Ou bien doit-il défendre un idéal, même s'il doit passer pour un traitre ?

En amitié, il est fidèle et loyal, du moment que vous n'êtes pas un philistin ou une grosse brute. Il est assez taquin mais sait se rétracter avant d'aller trop loin.
Très galant avec les femmes, il n'aime pas jouer les séducteurs. S'il est gentleman, ce n'est pas pour tromper son monde, mais par conviction. Il a eu sous les yeux l'exemple d'un couple modèle avec son père et sa mère, et souhaite atteindre ce même niveau de complicité. Disons que c'est un éternel romantique.

Ce qui craint le plus, c'est de perdre l'audition. La musique étant sa raison de vivre et son arme, ce handicap serait fatal pour lui. C'est pourquoi il limite l'utilisation de certaines de ses techniques.
Dans le même ordre d'idée, il a peur de la solitude quand il ne la désire pas. Se considérant comme un pilier pour les autres, il espère que si, un jour, il est plongé définitivement dans le silence, quelqu'un lui sera à ses côtés.

Le monde de Bleach est ainsi fait, les laidrons n'ont pas véritablement leur place et sont en général caricaturaux et ridicules. Et puis pourquoi se priver de personnages plutôt plus faits de leur personne, n'est-ce pas ? Sanji n'échappe donc pas au terrible sort d'être un bel homme.
Il mesure 1m75, se situant dans la moyenne des tailles de la gente masculine. Il n'est pas particulièrement musclé et peut mettre paraitre peu costaud en comparaison avec les plus grands guerriers de la Soul Society. Cependant, il n'est pas non plus faible et sait faire confiance à sa force quand l'heure est venue, bien que ce ne soit pas sa priorité. Il s'entretient comme tout shinigami qui se respecte, de sorte qu'il n'a pas de poids en trop, par exemple, et qu'il a de la ressource musculaire. La légèreté de son corps lui permet de se déplacer lestement et sans faire de bruit.
Ses mains sont assez longues, des doigts parfaitement adaptés à l'utilisation d'instruments de musique. Ils sont souples, réactifs et précis dans le maniement de toute chose. De ce fait, Sanji n'est pas maladroit.
Son visage est fin (ni rond ni émacié) et symétrique. Ses yeux sont d'un bleu très clair, couleur ciel. Son nez est de type mutin. Sa tête est encadrée de cheveux bleus et raides. Ils descendent jusqu'à ses hanches, autant dire qu'ils sont vraiment très longs. Leur couleur peut paraitre bizarre, c'est vrai qu'elle n'est pas très naturelle. Cependant, il ne tient pas compte des remarques qu'on peut lui adresser. Après tout, la Soul Society accueille une petite fille aux cheveux roses et un capitaine plutôt jeune avec des cheveux blancs.
Sa voix est grave, douce et chaleureuse. Lorsqu'il s'exprime, il attire l'attention. Il parle avec un léger accent, assez mélodieux. vestige de ses origines.

Il porte bien entendu l'uniforme traditionnel des shinigamis, soit un kimono noir avec un revers blanc, un hakama noir, une ceinture de tissu et des tabis blancs, ainsi que des sandales de paille.
S'il doit se rendre à Karakura en tant que civil, son gigai portera ses vêtements de prédilection. Soit des costumes trois pièces, en noir et blanc. Lorsqu'il veut faire plus simple, et plus détendu, il porte chemise et pantalon noirs. Il se débrouille toujours pour être bien vêtu en permanence. Jamais débraillé, pas une manche qui dépasse, ou même un fil.

Vie et Mort

Sanji est italiano-japonais. Il est né au XIX°siècle, en Italie.
Son père est un excellent pianiste travaillant à la Scala de Milan. Sa mère est japonaise. Elle est une riche héritière, et mécène en matière de musique classique. Émerveillée par les performances du pianiste, elle demande à le rencontrer, d'abord professionnellement, puis personnellement. Après avoir passé ensemble 2 ans en Italie, le couple part au Japon, en compagnie de leur enfant, âgé de 18 mois. Le garçon conserve le patronyme de sa mère et non de son père, car tous les deux trouvaient que les sonorités des deux noms associés avaient une certaine sonorité.
Il serait naïf de penser que l'enfant puisse faire autre chose que de la musique. Bercé dans ce milieu depuis sa plus tendre enfance, il s'exerce à toute sorte d'instruments, sans au départ véritablement trouver chaussure à son pied. Ayant une certaine affection pour les instruments à vent (trompette et cor), il casse plutôt les oreilles de ses parents avec un plaisir coupable. Trop jeune pour être emmené à un vrai concert, son père attend qu'il ait au moins 10 ans pour qu'il puisse l'apprécier à sa juste valeur.
Une soirée mémorable pour Sanji fut ce fameux premier récital. Un orchestre interprétait une œuvre de toute beauté. Emporté par le son et les mélodies, l'avenir de l'enfant se détourne des sons assourdissants du trombone pour se diriger vers les instruments à corde. Il se révèle particulièrement doué au violon. Les parents, bien argentés, ont les moyens de le confier aux professeurs les plus talentueux. Des années et des années d'acharnement, de travail, de souffrance parfois, des échecs aussi, font de lui un musicien d'exception. Lorsqu'il devient majeur, il s’intègre vite à un orchestre de renom.

Son talent fut arrêté par le destin ; il meurt à l'âge de 25 ans. On supposa à l'époque qu'il fut écrasé par une calèche. Pour toute personne sensible au monde des esprits, la réalité est autre.
Quelques jours avant sa mort, dès qu'il interprétait une partition, Sanji sentait autour de lui la présence de personnes. Au fur et à mesure, l'impression s'affinait et devenait plus précise. Des silhouettes vaporeuses s'imposaient à son regard. Pour éviter qu'elles ne l'embêtent pendant qu'il jouait, il les ignorait. Il refusait même de savoir ce que c'était, et gardait ça pour lui. La fatigue lui jouait des tours.
Il reconnait son erreur alors qu'il se vide de son sang en pleine rue. Son chef d'orchestre était poursuivi ce soir-là par un monstre que personne ne voyait. Sauf Sanji. Ce dernier ne chercha pas à protéger, ou à fuir. Le monstre l'attaqua dès qu'il sentit le reiatsu naissant de Sanji. Il l'étala d'un coup avant de s'occuper de l'objet de son ressentiment.


Après la mort
Sa mort, tout comme sa vie, peut se révéler monotone et peu originale en soi. Il arrive au rukongai. Complètement perdu, il cherche à prendre ses marques. Ce qui aide beaucoup le jeune homme, c'est sa sociabilité. Ses parents intervenant auprès de personnes diverses et variées, il savait se faire apprécier partout où il allait. De sorte qu'il se crée des relations rapidement et découvre toutes les subtilités de la Soul Society.
Il comprend que de son vivant, son "Reiatsu" commençait à se développer. Au cours de son existence au Rukongai, Sanji apprend à développer ses capacités. Ses connaissances remarquent sa progression et le décident à se présenter à l'Académie de Shinigami. Au début réticent à l'idée de quitter ses amis, il se lance cependant dans l'aventure.
Studieux et perfectionniste, comme quand il joue des instruments, Sanji passe les années d'études sans difficulté majeure. Il attend avec impatience la découverte de son zanpakuto.
Il le découvre bien assez tôt, en l'apparence d'un violon. Son âme de Shinigami était heureusement conforme à son être, contrairement à d'autres qui n'ont pas été gâtés (Hisagi, entre autre).
Lauréat de l'école de Shinigami, il commence sa carrière au sein de la Treizième division.

Initiation
En partie durant sa vie à l'Académie puis son installation dans sa division, le Shinigami a appris à connaitre son Zanpakuto. Même si l'on découvre sa forme, il faut encore pouvoir se mettre en contact avec l'âme du sabre, et accepter la présence, cohabiter. A force de conseils de Shinigamis plus expérimentés, Sanji parvient à comprendre qu'il avait déjà aperçu cette âme, sans arriver à faire la relation avec ce qu'il pensait être une simple coïncidence.
Tandis qu'il travaillait à la libération de son shikai, sans succès au départ (chose normale pour un shinigami en devenir), Sanji entendait le chant d'un oiseau, un rossignol du Japon. Cet oiseau est réputé pour la beauté de ses chants. Au début, le shinigami ne parvenait pas à repérer l'animal. Les oiseaux restant très sauvages, il passait son chemin, laissant le rossignol s'exprimer à distance.
Seulement, au fur et à mesure du temps qui passait, l'oiseau chantait toujours sur son chemin, comme une insistance, comme s'il cherchait quelque chose. Un beau jour, Sanji put le voir, et jeta à l'attention de l'animal des miettes pour qu'il se rassasie. Une camarade qui l'accompagnait regarda Sanji avec étonnement, ne comprenant pas pour qui il avait cette attention.
"- Mais...pour le rossignol, évidemment."
Bien qu'il était sûr d'entendre le chant au même moment, la femme lui répondit qu'il n'y avait pas d'oiseaux aux alentours.

La répétition de ces incidents fit comprendre au shinigami qu'il ne s'agissait pas d'un oiseau ordinaire. Quiconque se promenait en compagnie de Sanji ne voyait ni n'entendait le rossignol. Aussi, il eut bientôt des soupçons. Il attendit d'être seul avec lui pour le repérer. S'en suivit une vraie course dans le Sereitei où Sanji comprit qu"il n'avait pas d'ailes. En filant son objectif, il avait cassé trois toits et atterri sur deux shinigamis mécontents qu'il avait quitté en s'excusant (sans conviction puisqu'ils étaient de la "division Kenpachi").
Il finit par trouver le volatile dans un coin désert de la Soul Society. Ce dernier regardait fixement le shinigami puis laissa s'échapper de son bec un son splendide. Sanji fut d'abord enchanté par ce bruit ; cela ne dura pas.
L'oiseau enchaina avec un cri perçant d'une puissance telle qu'elle aurait fait exploser des vitres s'il y en avait eu à proximité. Sanji eut beau se couvrir les oreilles de ses mains, il ne pouvait rien faire. Le son passait malgré tout. Quant à fuir, il refusait de quitter les lieux devant l'animal. Il avait compris qui il était ; il ne devait pas partir. Il affronta le bruit malgré la douleur, retirant même ses mains et supportant ça sans protection. Le sang coulait de ses oreilles, mais peu importait. Quand l'oiseau eut terminé, Sanji s'écroula mais ne quittait plus le rossignol du regard.
Celui-ci se mit à parler. C'était étrange, mais Sanji n'en fut pas surpris.

"- Tu sais qui je suis, n'est-ce pas ?"

Sanji répondit, il sentait sa gorge vibrer, le son en sortait bien. Mais il n'entendait plus rien. Cela le troubla un instant avant que l'oiseau ne reprenne la parole.

" - Tu es mon Zanpakuto, c'est ça ?"
"- Exact. Ça te fait quel effet de ne plus t'entendre parler ?"
"- ...."
"- Et pourtant je suis sûr qu'il y a plein de personnes qui rêvent de ça quand tu ouvres la bouche : ne pas entendre ce que tu dis !"

Sanji fronça les sourcils. L'oiseau se payait sa tête ou quoi ?

"- Si tu crois que c'est flatteur d'avoir une mouette rieuse comme Zanpakuto !"

Le noble oiseau se sentit vexé. "Comment oses-tu me comparer à un oiseau aussi vulgaire d'une mouette. Tu en as déjà entendu beugler ?"

Sanji se mit à rire et s'approcha de l'animal au point de pouvoir le toucher. Ce qu'il fit en le poussant du doigt au niveau de l'abdomen comme lorsqu'on souhaite provoquer quelqu'un.

"- Ecoute-moi bien, le piaf. Si tu remets en cause mes origines, sous prétexte que je présente bien à la mode nippone mais que je suis aussi bavard qu'un italien, je trouve cela vraiment mal placé venant d'un animal qui certes est magnifique de l'extérieur mais qui nous casse les oreilles à longueur de journée."

L'oiseau répliqua d'un coup de bec avant de chanter joyeusement, ce qu'on pourrait par anthropomorphisme être un rire. Le rossignol s'envola dans les airs avant de rejoindre à toute vitesse le katana qu'il était.

Ils firent tous les deux demi-tour pour rejoindre le Sereitei. Tandis qu'ils retrouvaient un peu de foule dans les rues où défilaient les shinigamis, Sanji sursauta tandis qu'un de ses camarades de Treizième division lui tapota l'épaule.

Il n'avait rien vu venir. Avec Uguisu, il avait parlé par le biais de ce lien qui était propre au shinigami et à son zanpakuto. Sous le coup de l'émotion et de l'enthousiasme, il n'avait pas vraiment réalisé que son état perdurait depuis tout à l'heure.
Son collègue dialoguait, mais Sanji n'entendait rien. L'interlocuteur, au départ souriant, découvrait l'état dans lequel il était. Incapable d’ouïr, du sang coulant de ses oreilles et de ses yeux.
Loin de rester calme, Sanji se mit à paniquer. Il ne comprenait pas ce qu'on lui disait, il voyait son ami s'inquiéter. Et s'il était définitivement sourd ? Il poussa un hurlement qui affola les gens alentours. Même ce cri ne parvint pas à ses tympans. Terrifié, craignant d'avoir perdu le sens qui lui importait le plus dans son existence, il venait de découvrir son point faible. Il continua de hurler, mais plus dans le but de tester son audition, avec l'énergie du désespoir.
Quelques longues minutes plus tard, (alors que les shinigamis désemparés mais compatissant attendaient un soigneur de la Quatrième Division) Uguisi, avec un flegme qui tempérait son cabotinage, annonça la couleur.

"Tu retrouveras ton audition dans peu de temps. Je voulais te montrer une partie des pouvoirs que nous possédons. Songe à ce que tu peux faire avec moi. Mais tant que tu n'auras pas dépassé le shikai, tu seras sensible à certains sons. A toi de progresser. Mais je ne te faciliterais pas la tâche, crois-moi. Ce n'est pas de sitôt que tu vas me mettre en cage."

Et l'oiseau se mit à chanter. C'était encore un rire. Inquiétant, cette fois.


Désaccord
Suite à sa réussite à l'Académie, Sanji devient membre de la dernière division de la Soul Society. Il reste discret et en retrait, sans pour autant se faire oublier.
Comme beaucoup parmi ses camarades, il se sent confus lorsque Rukia Kuchiki est arrêtée. Il trouve la décision incompréhensible et injuste. Il se contente d'obéir aux autres, puisque simple exécutant. Il se sent soulagé lorsque toute cette histoire est réglée grâce à Ichigo Kurosaki et ses amis, même s'il a suivi cela de très loin, en simple spectateur, comme beaucoup de seconds couteaux.
Il remet alors en question son rôle de shinigami, la définition de la loyauté, de l'obéissance et de ses limites.
Pourquoi ne pas être allé à la rescousse d'une membre de sa division ? De ne pas avoir bougé ? De ne pas avoir été au devant, comme son capitaine, comme ces humains qui n'étaient pas véritablement concernés par le complot du vil Aizen ? Pourquoi n'était-il pas monté au créneau ?
Il est en colère contre lui-même, mais aussi contre la Soul Society.
Pourquoi ne pas avoir cherché à comprendre cette décision invraisemblable de condamner Rukia ? Avait-elle commis un crime vraiment odieux ? Non. Pourquoi le Capitaine Yamamoto Genryusai n'a pas été surpris par la "traitrise" d'Ukitake Taicho et de Kyoraku-sama ? Pourquoi s'être battu avec eux au lieu de discuter et de comprendre son erreur ? Sans parler de ByaKuya Kuchiki. Même s'il doit en mourir, le shinigami ira voir ce Capitaine pour tenter de comprendre ce comportement qui échappe à tout bon sens.

C'est alors qu'il apprend son transfert à la Sixième Division. Il se souvenait que c'était son premier choix au sortir de l'Académie, mais il ne l'avait pas obtenu à l'époque.
Il était au départ déçu de cette décision, de quitter la 13° division alors qu'il s'y sentait utile. Cependant, le fait de se rapprocher de Kuchiki Byakuya, l'homme dont il ne comprend pas le raisonnement, l'aide à accepter cette idée.


♦ Surnom(s) : aucun
♦ Style de Combat : Zanjutsu
♦ Mentalité au Combat : Même si Sanji ne déteste pas se battre, il n'ira pas forcément à l'offensive. Son rôle est celui d'un soutien aux vrais guerriers. La nature de son zanpakuto l'oblige à rester en retrait pour aider ses compagnons de lutte. En effet, ses techniques vont soit émuler un allié, soit déstabiliser l'adversaire.
Il n'utilisera ses attaques les plus dévastatrices qu'en cas d'extrême urgence, car elles ont des conséquences sur le shinigami qu'il redoute tout particulièrement.
Optant pour la stratégie plutôt que foncer dans le tas, il cherchera à comprendre l'ennemi et éventuellement éviter une bataille si celle-ci ne s'avère pas nécessaire. Cependant, on ne peut pas le classer parmi les pacifistes, puisqu'il ira tout de même se battre, ne serait-ce que pour ne pas abandonner ses camarades.
♦ Zanpakuto // Type : Nihon no Uguisu no Violin. On peut le traduire par "le violon du Rossignol du Japon". L'esprit du zanpakuto est ... un rossignol du Japon tout ce qu'il y a de plus classique, mis à part qu'il parle, qu'il a un certain sens de l'humour, et qu'il peut briser du cristal en chantant.

Pour le type du zanpakuto, euh...bonne question. Peut-être "kido", mais si vous avez une meilleure définition...

Puissance / Résistance :0
Vitesse / Finesse :0
Kido / Esprit:0

Description Physiologique [Scellé]:

Au repos, le Tsuka du Zanpakuto de Sanji est entièrement en bois vernis, de couleur naturelle. La lame est en métal, sur laquelle est gravée une portée musicale. Le fourreau, quant à lui, est fait du même bois que le manche. Sanji le porte toujours à la taille, côté gauche.


Description du Shikai et vos Techniques :

Le Shikai du sabre est déclenché non pas par une parole comme pour les zanpakutos habituels. Sanji sifflote ou chantonne une petite mélodie qui libère alors le sabre. Le zanpakuto prend l'apparence d'un violon et d'un archet.

En jouant, il est capable d'influencer le comportement selon le type de musique qu'il interprète. Lorsque Sanji déclenche ses attaques, il les murmure. Rares sont les opposants qui entendent exactement l'énoncé.

Concerto : Cette technique apporte de l'émulation à la personne (ou groupe de personne) à qui le morceau est dédié.


Description du Bankai et vos Techniques : -

Description Physiologique [Scellé]:

Au repos, le Tsuka du Zanpakuto de Sanji est entièrement en bois vernis, de couleur naturelle. La lame est en métal, sur laquelle est gravée une portée musicale. Le fourreau, quant à lui, est fait du même bois que le manche. Sanji le porte toujours à la taille, côté gauche.


Description du Shikai et vos Techniques :

Le Shikai du sabre est déclenché non pas par une parole comme pour les zanpakutos habituels. Sanji sifflote ou chantonne une petite mélodie qui libère alors le sabre. Le zanpakuto prend l'apparence d'un violon et d'un archet.

En jouant, il est capable d'influencer le comportement selon le type de musique qu'il interprète. Lorsque Sanji déclenche ses attaques, il les murmure. Rares sont les opposants qui entendent exactement l'énoncé.

Concerto : Cette technique apporte de l'émulation à la personne (ou groupe de personne) à qui le morceau est dédié.
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